Nous vous convions au vernissage de cet événement le vendredi 18 décembre en présence de ce modeste mais remarquable artiste qui nous raconte, depuis près de quarante ans, au travers de ces peintures simples, réalistes, figuratives, naturalistes, sa forêt, la grande forêt équatoriale africaine, celle-là même qui constitue (avec la forêt amazonienne et le plancton de l’océan) un des trois grands poumons de notre planète (c’est celle d’ « African Queen », celle d’ « au cœur des ténèbres », celle de « à la courbe du fleuve », celle d’« il est minuit Docteur Schweitzer »…). Il règne dans cette peinture comme une leçon fondamentale de vie, qui appelle au respect et à l’amour de la nature.
A l’heure où les lobbies pétroliers s’apprêtent à retourner et détruire le parc national des Virunga en RDC, sublime exemple, au cœur de l’Afrique centrale, de la beauté de notre planète et des richesses de la vie, l’œuvre de Michel Ouabanga représente un hymne à la Nature, un hymne universel qu’il continue inlassablement, avec conviction et ténacité, à entonner comme un chant philosophique profond de résistance à la stupidité humaine et à l’injustice du monde moderne.
Et bien que le contexte général s’y prête mal, faisant nôtre cette maxime : « pessimiste de la raison mais optimiste du cœur », nous vous offrons à tous nos meilleurs vœux pour l’année qui arrive.
Enfin vous détendre à l’africaine cliquez sur https://www.youtube.com/embed/p5_JikG9oI4

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